Nous sommes parfois confrontés à quelque chose que Dieu est en train de faire ou même d’enseigner qui va au-delà de ce que nous avons l’habitude d’entendre. Notre première réaction est souvent de nous fermer à cette nouveauté et de la rejeter. Nous nous trouvons bien installés dans une zone de confort délimitée par ce que nous croyons et par la manière à laquelle nous nous sommes habitués à vivre notre vie chrétienne. Trop souvent, nous sommes plus préoccupés d’où nous nous trouvons que de l’endroit où se trouve Christ.
Jésus n’a jamais semblé faire ce que tout le monde attendait de lui. Les pharisiens de son temps étaient de vrais théologiens. Ils connaissaient les écritures en long et en large, mais ils avaient construit un système de croyance au travers duquel ils filtraient chaque parole. Ce que Jésus a fait n’était pas « nouveau ». Les choses qu’il a vécues avaient été annoncées plus de 1000 ans auparavant ! Si les actions de Jésus paraissaient tellement révolutionnaires pour les Juifs, c’est parce que leur système de croyance biaisé ne leur avait pas permis de découvrir le vrai cœur du Père et ses plans pour son peuple et pour le monde.
Un exemple : Dieu a institué le sabbat pour être une bénédiction pour son peuple, comme un jour de repos pour se réjouir de tout ce que Dieu a fait. Mais cette bénédiction est presque devenue une malédiction au moment où Jésus est apparu sur la scène terrestre. En effet, les règles juives liées au sabbat étaient devenues une prison, mais elles avaient très peu à voir avec le cœur de Dieu et son intention première en créant ce jour de repos.
Depuis toujours, Dieu avait prévu d’offrir le salut au monde et ceci en-dehors de la Loi. Il avait promis que ce qui fut une fois écrit sur des tablettes de pierre serait gravé dans nos cœurs (Jérémie 31.33). Il a promis qu’il remplacerait nos cœurs de pierre par des cœurs de chair (Ezéchiel 11.19). Pourquoi donc tout ceci parut-il si révolutionnaire dans l’Israël du premier siècle ?
Parce qu’ils considéraient toute chose à travers des lunettes biaisées.
Les responsables religieux de l’époque étaient toujours fâchés avec Jésus parce qu’il ne faisait pas les choses selon leurs règles, leur vision des choses.
« Et personne ne met du vin nouveau dans de vieilles outres, sinon le vin nouveau fait éclater les outres, il coule et les outres sont perdues. Mais il faut mettre le vin nouveau dans des outres neuves [et les deux se conservent]. » (Luc 5.37-38)
Jésus ne parle pas ici d’une nouvelle doctrine. Il parle d’un nouvel accès au trône céleste pour chaque homme, chaque femme ou chaque enfant qui choisit de croire. Il dit que cette nouvelle réalité ne peut pas être reçue par ceux qui possèdent un vieux système de pensée, un ancien cadre d’idées religieuses limitant la manière dont Dieu peut agir en eux et autour d’eux. La « nouveauté » de la présence manifeste de Dieu va faire éclater leur cadre humain de pensée en mille morceaux. Mais le verset 39 nous dit que la plupart des personnes qui se sont habituées à la « vieille » manière de croire et de penser sont déterminées que c’est là suffisamment bon.
Jésus nous appelle à devenir de nouvelles outres. Nous avons besoin d’une mentalité qu’il peut étendre et dans laquelle nous pouvons accueillir la plénitude de qui il est et de tout ce qu’il a pour nous. Il ne s’agit pas pour nous de changer les doctrines ou de croire de nouvelles théologies. Mais il s’agit pour nous de retirer les lunettes que nous portions jusque-là !
Prenons un autre exemple : Les spécialistes de la loi et les pharisiens observaient Jésus pour voir s'il ferait une guérison le jour du sabbat, afin d'avoir un motif pour l'accuser. (Luc 6.7). C’est ici l’histoire de l’homme qui avait une main infirme. Jésus était prêt à libérer cet homme de son infirmité. Il était venu pour restaurer les gens et pour les libérer. Les pharisiens ne semblaient pas douter de sa capacité ou de son intention de guérir. Mais ils étaient juste déterminés à s’assurer qu’il le fît en accord avec leurs règles. Les cieux étaient sur le point de s’ouvrir et d’intervenir avec puissance pour envahir la vie d’un homme brisé et tout ce que les hommes religieux voulaient, c’était la certitude que tout se passât d’une manière rentrant dans le cadre légaliste et oppressant qu’ils avaient construit pour contenir les manières de faire de Dieu.
Ils n’étaient pas intéressés par le fait que le Roi des cieux se trouvait juste devant eux. Ils étaient intéressés par le maintien d’une doctrine qu’ils avaient créée.
Bien que nous ayons eu les paroles de Jésus et la présence du Saint-Esprit parmi nous depuis plus de deux mille ans ; bien que nous ayons eu accès à la salle du trône dans les cieux ; bien que nous ayons appris à prier : « Que ton règne vienne… sur la terre comme au ciel », nous continuons trop souvent de voir la vérité à travers les lunettes de notre vieux système de croyance humain.
Je vous mets au défi de laisser Jésus vous étirer. Il ne s’agit pas d’une nouvelle vague de doctrine. Il s’agit en fait de la plus vieille doctrine connue. Je vous mets au défi de relire les Évangiles. Regardez comment Jésus traitait les gens. Regardez l’importance des miracles et des signes accompagnant son ministère. Alors que vous arriverez au livre des Actes et aux Épitres, regardez comment il aimait. Personne n’a touché les lépreux jusqu’à ce que Jésus le fît. Personne n’a mangé avec les collecteurs d’impôts jusqu’à ce que Jésus le fît. Personne n’a aimé ceux qui n’étaient pas aimables jusqu’à ce que Jésus le fît. Il était la parfaite incarnation du cœur du Père. Il n’était pas intéressé par le respect des règles. Il était intéressé par la possibilité de libérer les gens.
C’est pourquoi, la prochaine fois que vous lutterez pour croire un certain miracle ou que vous entendrez quelqu’un donner une parole de prophétie et que cela viendra à l’encontre de tout ce dont vous avez l’habitude, prenez un moment pour prendre du recul. Un petit voyage à travers les Évangiles vous conduira peut-être à la prise de conscience que la vie chrétienne que vous avez l’habitude de vivre ne ressemble pas à ce que vous y lirez. Que faire si presque rien de ce que vous pouvez lire dans Matthieu, Marc, Luc et Jean ne ressemble à ce que vous vivez quotidiennement ?
Si vous découvrez que c’est le cas, alors quelque chose a vraiment besoin de changer.
Et lorsque nous arrivons à ce carrefour, notre responsabilité est de creuser. Ne rejetez pas ce que vous voyez ou entendez simplement parce que vous ne l’avez encore jamais vu de vos propres yeux. Ne le rejetez pas parce que cela ne ressemble pas à ce que vous avez vu faire dans l’église de votre maman. Votre expérience et la religion de votre maman n’ont jamais été le standard. Jésus est le standard. Les manières de faire de Jésus constituent la norme standard. Quand il envoya des hommes pour exercer le ministère, il les équipa pour guérir les malades, ressusciter les morts, chasser les démons et guérir les lépreux. Il leur dit de prêcher que le Royaume des cieux était proche. Il dit dans Jean 14.12 que « … celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais, et il en fera même de plus grandes, parce que je vais vers mon Père. » Ces paroles sont bien trop énormes pour moi. Elles secouent mon intelligence ! Mais je sers un Dieu pour lequel rien n’est impossible. Si c’est là comment Jésus démontrait l’amour au monde, qui suis-je pour être satisfait en faisant moins que cela ? C’est là la doctrine que Jésus enseignait. Enseigner et toucher. Des paroles et des actes. Le corps et l’âme. Vérifiez-le par vous-mêmes ! Je n’invente pas ces affirmations. Ne prenez pas mes déclarations pour argent comptant. Vérifiez-les par vous-mêmes.
Mais quand vous recevez une vision claire de la manière dont Jésus nous a appelés à vivre et de ce qu’il nous a appelés à être, la seule chose qui aura besoin de changer, ce sera vous !
Et c’est là que vous aurez besoin de décider si oui ou non vous permettrez à Jésus de vous étirer, de vous étirer et de vous étirer encore.
Il y a toujours plus.
Jésus n’a jamais semblé faire ce que tout le monde attendait de lui. Les pharisiens de son temps étaient de vrais théologiens. Ils connaissaient les écritures en long et en large, mais ils avaient construit un système de croyance au travers duquel ils filtraient chaque parole. Ce que Jésus a fait n’était pas « nouveau ». Les choses qu’il a vécues avaient été annoncées plus de 1000 ans auparavant ! Si les actions de Jésus paraissaient tellement révolutionnaires pour les Juifs, c’est parce que leur système de croyance biaisé ne leur avait pas permis de découvrir le vrai cœur du Père et ses plans pour son peuple et pour le monde.
Un exemple : Dieu a institué le sabbat pour être une bénédiction pour son peuple, comme un jour de repos pour se réjouir de tout ce que Dieu a fait. Mais cette bénédiction est presque devenue une malédiction au moment où Jésus est apparu sur la scène terrestre. En effet, les règles juives liées au sabbat étaient devenues une prison, mais elles avaient très peu à voir avec le cœur de Dieu et son intention première en créant ce jour de repos.
Depuis toujours, Dieu avait prévu d’offrir le salut au monde et ceci en-dehors de la Loi. Il avait promis que ce qui fut une fois écrit sur des tablettes de pierre serait gravé dans nos cœurs (Jérémie 31.33). Il a promis qu’il remplacerait nos cœurs de pierre par des cœurs de chair (Ezéchiel 11.19). Pourquoi donc tout ceci parut-il si révolutionnaire dans l’Israël du premier siècle ?
Parce qu’ils considéraient toute chose à travers des lunettes biaisées.
Les responsables religieux de l’époque étaient toujours fâchés avec Jésus parce qu’il ne faisait pas les choses selon leurs règles, leur vision des choses.
« Et personne ne met du vin nouveau dans de vieilles outres, sinon le vin nouveau fait éclater les outres, il coule et les outres sont perdues. Mais il faut mettre le vin nouveau dans des outres neuves [et les deux se conservent]. » (Luc 5.37-38)
Jésus ne parle pas ici d’une nouvelle doctrine. Il parle d’un nouvel accès au trône céleste pour chaque homme, chaque femme ou chaque enfant qui choisit de croire. Il dit que cette nouvelle réalité ne peut pas être reçue par ceux qui possèdent un vieux système de pensée, un ancien cadre d’idées religieuses limitant la manière dont Dieu peut agir en eux et autour d’eux. La « nouveauté » de la présence manifeste de Dieu va faire éclater leur cadre humain de pensée en mille morceaux. Mais le verset 39 nous dit que la plupart des personnes qui se sont habituées à la « vieille » manière de croire et de penser sont déterminées que c’est là suffisamment bon.
Jésus nous appelle à devenir de nouvelles outres. Nous avons besoin d’une mentalité qu’il peut étendre et dans laquelle nous pouvons accueillir la plénitude de qui il est et de tout ce qu’il a pour nous. Il ne s’agit pas pour nous de changer les doctrines ou de croire de nouvelles théologies. Mais il s’agit pour nous de retirer les lunettes que nous portions jusque-là !
Prenons un autre exemple : Les spécialistes de la loi et les pharisiens observaient Jésus pour voir s'il ferait une guérison le jour du sabbat, afin d'avoir un motif pour l'accuser. (Luc 6.7). C’est ici l’histoire de l’homme qui avait une main infirme. Jésus était prêt à libérer cet homme de son infirmité. Il était venu pour restaurer les gens et pour les libérer. Les pharisiens ne semblaient pas douter de sa capacité ou de son intention de guérir. Mais ils étaient juste déterminés à s’assurer qu’il le fît en accord avec leurs règles. Les cieux étaient sur le point de s’ouvrir et d’intervenir avec puissance pour envahir la vie d’un homme brisé et tout ce que les hommes religieux voulaient, c’était la certitude que tout se passât d’une manière rentrant dans le cadre légaliste et oppressant qu’ils avaient construit pour contenir les manières de faire de Dieu.
Ils n’étaient pas intéressés par le fait que le Roi des cieux se trouvait juste devant eux. Ils étaient intéressés par le maintien d’une doctrine qu’ils avaient créée.
Bien que nous ayons eu les paroles de Jésus et la présence du Saint-Esprit parmi nous depuis plus de deux mille ans ; bien que nous ayons eu accès à la salle du trône dans les cieux ; bien que nous ayons appris à prier : « Que ton règne vienne… sur la terre comme au ciel », nous continuons trop souvent de voir la vérité à travers les lunettes de notre vieux système de croyance humain.
Je vous mets au défi de laisser Jésus vous étirer. Il ne s’agit pas d’une nouvelle vague de doctrine. Il s’agit en fait de la plus vieille doctrine connue. Je vous mets au défi de relire les Évangiles. Regardez comment Jésus traitait les gens. Regardez l’importance des miracles et des signes accompagnant son ministère. Alors que vous arriverez au livre des Actes et aux Épitres, regardez comment il aimait. Personne n’a touché les lépreux jusqu’à ce que Jésus le fît. Personne n’a mangé avec les collecteurs d’impôts jusqu’à ce que Jésus le fît. Personne n’a aimé ceux qui n’étaient pas aimables jusqu’à ce que Jésus le fît. Il était la parfaite incarnation du cœur du Père. Il n’était pas intéressé par le respect des règles. Il était intéressé par la possibilité de libérer les gens.
C’est pourquoi, la prochaine fois que vous lutterez pour croire un certain miracle ou que vous entendrez quelqu’un donner une parole de prophétie et que cela viendra à l’encontre de tout ce dont vous avez l’habitude, prenez un moment pour prendre du recul. Un petit voyage à travers les Évangiles vous conduira peut-être à la prise de conscience que la vie chrétienne que vous avez l’habitude de vivre ne ressemble pas à ce que vous y lirez. Que faire si presque rien de ce que vous pouvez lire dans Matthieu, Marc, Luc et Jean ne ressemble à ce que vous vivez quotidiennement ?
Si vous découvrez que c’est le cas, alors quelque chose a vraiment besoin de changer.
Et lorsque nous arrivons à ce carrefour, notre responsabilité est de creuser. Ne rejetez pas ce que vous voyez ou entendez simplement parce que vous ne l’avez encore jamais vu de vos propres yeux. Ne le rejetez pas parce que cela ne ressemble pas à ce que vous avez vu faire dans l’église de votre maman. Votre expérience et la religion de votre maman n’ont jamais été le standard. Jésus est le standard. Les manières de faire de Jésus constituent la norme standard. Quand il envoya des hommes pour exercer le ministère, il les équipa pour guérir les malades, ressusciter les morts, chasser les démons et guérir les lépreux. Il leur dit de prêcher que le Royaume des cieux était proche. Il dit dans Jean 14.12 que « … celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais, et il en fera même de plus grandes, parce que je vais vers mon Père. » Ces paroles sont bien trop énormes pour moi. Elles secouent mon intelligence ! Mais je sers un Dieu pour lequel rien n’est impossible. Si c’est là comment Jésus démontrait l’amour au monde, qui suis-je pour être satisfait en faisant moins que cela ? C’est là la doctrine que Jésus enseignait. Enseigner et toucher. Des paroles et des actes. Le corps et l’âme. Vérifiez-le par vous-mêmes ! Je n’invente pas ces affirmations. Ne prenez pas mes déclarations pour argent comptant. Vérifiez-les par vous-mêmes.
Mais quand vous recevez une vision claire de la manière dont Jésus nous a appelés à vivre et de ce qu’il nous a appelés à être, la seule chose qui aura besoin de changer, ce sera vous !
Et c’est là que vous aurez besoin de décider si oui ou non vous permettrez à Jésus de vous étirer, de vous étirer et de vous étirer encore.
Il y a toujours plus.
Jeff
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