À l’ère de Facebook, la "vérité" se trouve si souvent réduite à l’opinion de celui qui a le plus "d’amis", la voix la plus forte et la position la plus exagérée. Les faits, le bien et le mal légitimes, sont secondaires par rapport à la dernière rumeur virale, peu importe sa validité réelle et vérifiable. Un point de vue sur une question, et d’ailleurs notre système de croyance lui-même, est bien souvent basé sur l’opinion – empreinte de partialité – exprimée par les médias ou sur une horrible version de la pensée de groupe basée sur l’émotion.
Et pour moi, la réalité la plus triste de tout cela est que les chrétiens d’aujourd’hui sont aussi facilement attirés par cette vérité tordue et ténue que le sont leurs homologues du monde.
La vérité absolue n’a qu’une seule source, et ce ne sont pas les médias, la Cour suprême ou le dernier mouvement de hashtag qui fait le tour du monde sur Twitter. Ce n’est même pas toujours ce qui peut être prêché en chaire un dimanche.
La vérité absolue et immuable ne peut venir que d’un seul endroit : La Bible, qui est la Parole même du Créateur de l’Univers. Un croyant qui tente d’établir tout aspect de son système de croyance ou toute position de l’opinion publique à partir d’une autre source est déjà sur une pente impie et glissante.
Et pour moi, la réalité la plus triste de tout cela est que les chrétiens d’aujourd’hui sont aussi facilement attirés par cette vérité tordue et ténue que le sont leurs homologues du monde.
La vérité absolue n’a qu’une seule source, et ce ne sont pas les médias, la Cour suprême ou le dernier mouvement de hashtag qui fait le tour du monde sur Twitter. Ce n’est même pas toujours ce qui peut être prêché en chaire un dimanche.
La vérité absolue et immuable ne peut venir que d’un seul endroit : La Bible, qui est la Parole même du Créateur de l’Univers. Un croyant qui tente d’établir tout aspect de son système de croyance ou toute position de l’opinion publique à partir d’une autre source est déjà sur une pente impie et glissante.
Au moment où j’écris ces lignes, la pandémie mondiale de Covid-19 a laissé les États-Unis frappés par la maladie et la mort, et dans un niveau sans précédent de division politique alors que chaque partie proclame haut et fort ses opinions sur la façon dont le leadership de notre nation nous guide à travers tout cela.
De plus, ce chaos culturel se produit en plein milieu de la saison des élections présidentielles, où le peuple américain aura la responsabilité d’élire l’homme qu’il pense être le meilleur pour le diriger pendant les quatre prochaines années.
La course s’est réduite à un concours entre deux hommes seulement.
Et voilà que Joe Biden est accusé de viol.
À ce stade, je voudrais clarifier ceci : je ne suis ni démocrate ni républicain. Je suis simplement un homme de Dieu. Aucun parti ou organisation politique ne réussit à 100%. Les démocrates ont fait des choses et croient des choses qui ont brisé et continuent de briser le cœur de Dieu. Mais, en dépit de leur prétendu fondement dans la moralité d’une vision du monde judéo-chrétienne, les républicains ont fait de même, encore et encore.
Mon propos ici n’est pas du tout de rédiger une diatribe politique. Il s’agit plutôt d’une diatribe contre la perception commune selon laquelle toute accusation sexuelle est vraie avant d’être testée, et que nous, en tant que peuple, avons accepté la destruction absolue de vies sur la base du témoignage non corroboré d’un seul témoin.
Cependant, mes chers amis chrétiens, je n’ai pas l’intention de vous interpeler en faisant usage de culturalismes américains tels que "innocent jusqu’à preuve du contraire" ou "preuve au-delà de tout doute raisonnable". Ces mesures objectives deviennent rapidement subjectives, les idées changeantes d’une culture glissant vers une vérité relative.
Au lieu de cela, je vous emmène à la Parole qui ne change jamais.
Tout d’abord, en 1 Timothée 5.19, les Écritures disent : "N’accepte pas d’accusation contre un ancien, si ce n’est sur la déposition de deux ou trois témoins." (S21). Ou, encore plus largement dans 2 Corinthiens 13:1, "... Toute affaire se réglera sur la déclaration de deux ou de trois témoins." (S21)
Ce ne sont pas deux ou trois personnes qui parlent de ce qu’elles pensent ou de ce qu’elles ont entendu.
Ce ne sont pas des témoins qui inventent des mensonges basés sur des arrière-pensées (voir les paroles de Jésus dans Jean 8.46 où il dit : "Qui d’entre vous peut produire la preuve que j’ai commis une seule faute?....", BDS) Ces témoins sont deux ou trois personnes dignes de confiance qui ont réellement vu le crime lui-même se produire.
Ceci n’est pas juste, pas équitable, pourrait-on dire. Ou, comme l’ont fait valoir avec succès les procureurs du Texas, "des exigences aussi lourdes en matière de preuve rendent les condamnations presque impossibles à obtenir".
Mais les voies de Dieu sont bien meilleures que le parfait dossier de condamnation de n’importe quel procureur. Dieu savait très intimement que sans Lui, le cœur de l’homme est trompeur par-dessus tout et extrêmement mauvais (voir Jérémie 17.9). Dieu avait besoin de trois témoins parce que Son cœur préférait voir cent coupables libérés plutôt qu’un innocent faussement accusé, et Il savait combien il est facile de motiver les gens à mentir.
Et pourtant, cela devient encore plus intéressant. Le mouvement #MeToo n’a pas simplement poussé la société à croire que chaque accusation doit être entendue, il est même allé jusqu’à insister pour que chaque accusation soit immédiatement crue. La première attente est noble. L’autre est absurde.
Mais ce n’est pas là seulement mon opinion personnelle. C’est apparemment aussi celle de Dieu.
Deutéronome 22.23-27 dit : "Si une jeune fille vierge est fiancée et qu’un homme la rencontre dans la ville et couche avec elle, vous les conduirez tous les deux à la porte de la ville. Vous les lapiderez, ils seront punis de mort, la jeune fille pour n’avoir pas crié dans la ville, et l’homme pour avoir déshonoré la femme de son prochain. Tu extirperas ainsi le mal du milieu de toi.
Mais si c’est dans les champs que cet homme rencontre la jeune femme fiancée, s’empare d’elle et couche avec elle, seul l’homme qui aura couché avec elle sera puni de mort. Tu ne feras rien à la jeune fille. Elle n’est pas coupable d’un crime digne de mort, car c’est le même cas que celui où un homme se jette sur son prochain et lui enlève la vie. La jeune fille fiancée que cet homme a rencontrée dans les champs a pu crier sans qu’il y ait eu personne pour la secourir." (S21)
Bien que Jésus ait pris sur Lui la peine de mort, et que Son Esprit en nous donne à chaque femme – et pas seulement à la femme vierge engagée envers son fiancé – le droit d’être protégée contre le viol, les défauts de caractère de l’homme, pour lesquels ces règles bibliques au sujet de la preuve ont été écrites, n’ont pas changé.
Dans le monde d’aujourd’hui, avec l’accès quasi mondial à un réseau de téléphonie mobile, le wifi omniprésent et une ligne d’urgence nationale pour la police (comme le 911 aux États-Unis, le 112 en Europe), tout homme, toute femme ou tout enfant violé(e) peut facilement "crier", appeler à l'aide, quel que soit l’endroit de la planète où l’agression a eu lieu, à de très rares exceptions près.
Malgré les arguments psychologiques avancés de nos jours, selon lesquels les victimes de viol devraient toujours être excusées pour les plaintes tardives dues au traumatisme inhérent à l’agression qu’ils prétendent avoir subie, même après des jours, des années ou des décennies, je crois que Dieu avait une raison de dessiner une ligne aussi choquante dans le sable.
Il savait que les gens mentent. Ses règles au sujet de la preuve semblent sévères, mais elles ont été mises en place pour protéger les innocents.
Selon l’opinion universelle de Dieu, si un viol se produit, la victime doit crier sur-le-champ.
Si elle ne le fait pas, il y a une trop forte probabilité que le viol n’ait pas eu lieu du tout.
De plus, ce chaos culturel se produit en plein milieu de la saison des élections présidentielles, où le peuple américain aura la responsabilité d’élire l’homme qu’il pense être le meilleur pour le diriger pendant les quatre prochaines années.
La course s’est réduite à un concours entre deux hommes seulement.
Et voilà que Joe Biden est accusé de viol.
À ce stade, je voudrais clarifier ceci : je ne suis ni démocrate ni républicain. Je suis simplement un homme de Dieu. Aucun parti ou organisation politique ne réussit à 100%. Les démocrates ont fait des choses et croient des choses qui ont brisé et continuent de briser le cœur de Dieu. Mais, en dépit de leur prétendu fondement dans la moralité d’une vision du monde judéo-chrétienne, les républicains ont fait de même, encore et encore.
Mon propos ici n’est pas du tout de rédiger une diatribe politique. Il s’agit plutôt d’une diatribe contre la perception commune selon laquelle toute accusation sexuelle est vraie avant d’être testée, et que nous, en tant que peuple, avons accepté la destruction absolue de vies sur la base du témoignage non corroboré d’un seul témoin.
Cependant, mes chers amis chrétiens, je n’ai pas l’intention de vous interpeler en faisant usage de culturalismes américains tels que "innocent jusqu’à preuve du contraire" ou "preuve au-delà de tout doute raisonnable". Ces mesures objectives deviennent rapidement subjectives, les idées changeantes d’une culture glissant vers une vérité relative.
Au lieu de cela, je vous emmène à la Parole qui ne change jamais.
Tout d’abord, en 1 Timothée 5.19, les Écritures disent : "N’accepte pas d’accusation contre un ancien, si ce n’est sur la déposition de deux ou trois témoins." (S21). Ou, encore plus largement dans 2 Corinthiens 13:1, "... Toute affaire se réglera sur la déclaration de deux ou de trois témoins." (S21)
Ce ne sont pas deux ou trois personnes qui parlent de ce qu’elles pensent ou de ce qu’elles ont entendu.
Ce ne sont pas des témoins qui inventent des mensonges basés sur des arrière-pensées (voir les paroles de Jésus dans Jean 8.46 où il dit : "Qui d’entre vous peut produire la preuve que j’ai commis une seule faute?....", BDS) Ces témoins sont deux ou trois personnes dignes de confiance qui ont réellement vu le crime lui-même se produire.
Ceci n’est pas juste, pas équitable, pourrait-on dire. Ou, comme l’ont fait valoir avec succès les procureurs du Texas, "des exigences aussi lourdes en matière de preuve rendent les condamnations presque impossibles à obtenir".
Mais les voies de Dieu sont bien meilleures que le parfait dossier de condamnation de n’importe quel procureur. Dieu savait très intimement que sans Lui, le cœur de l’homme est trompeur par-dessus tout et extrêmement mauvais (voir Jérémie 17.9). Dieu avait besoin de trois témoins parce que Son cœur préférait voir cent coupables libérés plutôt qu’un innocent faussement accusé, et Il savait combien il est facile de motiver les gens à mentir.
Et pourtant, cela devient encore plus intéressant. Le mouvement #MeToo n’a pas simplement poussé la société à croire que chaque accusation doit être entendue, il est même allé jusqu’à insister pour que chaque accusation soit immédiatement crue. La première attente est noble. L’autre est absurde.
Mais ce n’est pas là seulement mon opinion personnelle. C’est apparemment aussi celle de Dieu.
Deutéronome 22.23-27 dit : "Si une jeune fille vierge est fiancée et qu’un homme la rencontre dans la ville et couche avec elle, vous les conduirez tous les deux à la porte de la ville. Vous les lapiderez, ils seront punis de mort, la jeune fille pour n’avoir pas crié dans la ville, et l’homme pour avoir déshonoré la femme de son prochain. Tu extirperas ainsi le mal du milieu de toi.
Mais si c’est dans les champs que cet homme rencontre la jeune femme fiancée, s’empare d’elle et couche avec elle, seul l’homme qui aura couché avec elle sera puni de mort. Tu ne feras rien à la jeune fille. Elle n’est pas coupable d’un crime digne de mort, car c’est le même cas que celui où un homme se jette sur son prochain et lui enlève la vie. La jeune fille fiancée que cet homme a rencontrée dans les champs a pu crier sans qu’il y ait eu personne pour la secourir." (S21)
Bien que Jésus ait pris sur Lui la peine de mort, et que Son Esprit en nous donne à chaque femme – et pas seulement à la femme vierge engagée envers son fiancé – le droit d’être protégée contre le viol, les défauts de caractère de l’homme, pour lesquels ces règles bibliques au sujet de la preuve ont été écrites, n’ont pas changé.
Dans le monde d’aujourd’hui, avec l’accès quasi mondial à un réseau de téléphonie mobile, le wifi omniprésent et une ligne d’urgence nationale pour la police (comme le 911 aux États-Unis, le 112 en Europe), tout homme, toute femme ou tout enfant violé(e) peut facilement "crier", appeler à l'aide, quel que soit l’endroit de la planète où l’agression a eu lieu, à de très rares exceptions près.
Malgré les arguments psychologiques avancés de nos jours, selon lesquels les victimes de viol devraient toujours être excusées pour les plaintes tardives dues au traumatisme inhérent à l’agression qu’ils prétendent avoir subie, même après des jours, des années ou des décennies, je crois que Dieu avait une raison de dessiner une ligne aussi choquante dans le sable.
Il savait que les gens mentent. Ses règles au sujet de la preuve semblent sévères, mais elles ont été mises en place pour protéger les innocents.
Selon l’opinion universelle de Dieu, si un viol se produit, la victime doit crier sur-le-champ.
Si elle ne le fait pas, il y a une trop forte probabilité que le viol n’ait pas eu lieu du tout.
Jeff
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