Il y a peu de temps de cela, j’ai cédé temporairement à de la crainte. Cet épisode a duré plusieurs semaines lors desquelles je me trouvais confus, comme étourdi et simplement déprimé. C’était un sentiment horrible, un de ces ressentis que j’espère ne pas revivre bientôt. Je ne voulais pas vraiment parler avec qui que ce soit. Je ne voulais pas écrire. Je ne voulais pas parler au téléphone. Je ne voulais pas de visiteurs. Je ne voulais rien faire du tout. Je restais tout simplement assis dans mon compartiment, souvent durant des heures, sans même savoir où passait le temps. J’ai commencé à me sentir engourdi, comme si je vivais chaque jour dans une brume qui ne voulait pas se lever et me quitter.
Je souhaitais désespérément sortir de ce terrible trou. J’ai commencé à demander à Dieu ce qui m’arrivait. « Tu as cédé à la peur » fut sa réponse très claire.
Cette dernière m’a poussé à chercher à trouver ce qu’il voulait précisément dire par là.
Je souhaitais désespérément sortir de ce terrible trou. J’ai commencé à demander à Dieu ce qui m’arrivait. « Tu as cédé à la peur » fut sa réponse très claire.
Cette dernière m’a poussé à chercher à trouver ce qu’il voulait précisément dire par là.
Il s’avère que ma vie est largement contrôlée par des accords que je conclus. Ces derniers mois, j’ai passé énormément de temps à œuvrer dans la lutte judiciaire pour ma liberté. J’ai également été aveuglé par de nouvelles lois injustes qui pourraient directement m’affecter un jour. J’ai entendu des récits des difficultés vécues par des hommes qui essaient tout simplement de vivre après leur sortie de prison. Même ici, des changements sur mon lieu de travail et jusque dans certains domaines du ministère sont survenus de manière simultanée et ont provoqué chez moi un sentiment global de vivre des situations faites d’impossibilité.
Soudain, tout semblait être de trop… et chaque problème trop grand. Serais-je jamais libre ? Les choses sembleraient-elles un jour aller dans mon sens ? La faveur dont je bénéficie en prison pourrait-elle soudain disparaître sans explication ? Tous ces cas de figure ne correspondaient pas du tout à la réalité présente de ma vie, mais il s’agissait des idées et des images qui semblaient remplir l’écran de ma pensée.
Et d’une certaine manière, tout au fond de moi, quelque chose en moi a commencé à s’accorder involontairement, oui à mon insu, avec les mensonges d’impossibilité que l’ennemi essayait de dispenser dans mon être. Le diable n’a aucune autorité sur moi, à moins que je la lui donne par le biais d’un accord avec lui, c’est-à-dire en étant d’accord avec ce dont il cherche à me persuader. C’est uniquement quand je me mets d’accord avec ses mensonges que je donne accès à l’esprit de crainte en moi. Et c’est là son outil préféré. L’esprit de crainte commence ensuite à contrôler ma vision et ma pensée, et l’ennemi dispose alors d’une autorité sur moi qu’il avait totalement perdue le jour où j’ai confié ma vie à Jésus-Christ.
Jésus a acheté ma liberté. Mais en tombant d’accord avec les mensonges du diable, je l’avais juste rendue à ce dernier.
Dans 2 Timothée 2.25-26, « les pièges du diable » correspondent à un endroit où les personnes qui croient des mensonges et ont perdu leur bon sens sont tenus captifs. C’est une image très forte. Nous sommes capturés par le diable pour faire sa volonté simplement en croyant des mensonges. C’est une vérité incroyable et dont nous contrôlons les conséquences simplement par ce avec quoi nous décidons de nous mettre d’accord.
Je suis tombé dans ce piège. Non pas délibérément, mais cela est vraiment arrivé et a causé une période douloureuse dans ma vie.
Cependant, Dieu ne m’a pas donné un esprit de crainte (2 Timothée 1.7). Je vis par la foi et non par la vue (2 Corinthiens 5.7). J’avais commencé à écouter les mensonges du diable, mais la foi vient en entendant la voix de Dieu (Romains 10.17) et la vérité est qu’il est sans cesse en train de communiquer avec nous. La foi est plus précieuse que l’or et nous donne un fondement extrêmement solide sur lequel nous pouvons construire nos vies et notre monde. Je suis un homme juste, et le juste vivra par la foi… pas par la crainte ! (Galates 3.11)
C’est pourquoi je choisis aujourd’hui la foi. Je choisis la liberté. Je choisis l’espérance. Je vais construire ma vie sur les vérités issues du cœur de Dieu et je refuse de me mettre d’accord avec les mensonges du diable.
Jésus est mort à Golgotha afin que je puisse être plus que vainqueur face aux tentatives du diable de me distraire et de me détruire.
Je choisis la foi. J’aurai la victoire !
Soudain, tout semblait être de trop… et chaque problème trop grand. Serais-je jamais libre ? Les choses sembleraient-elles un jour aller dans mon sens ? La faveur dont je bénéficie en prison pourrait-elle soudain disparaître sans explication ? Tous ces cas de figure ne correspondaient pas du tout à la réalité présente de ma vie, mais il s’agissait des idées et des images qui semblaient remplir l’écran de ma pensée.
Et d’une certaine manière, tout au fond de moi, quelque chose en moi a commencé à s’accorder involontairement, oui à mon insu, avec les mensonges d’impossibilité que l’ennemi essayait de dispenser dans mon être. Le diable n’a aucune autorité sur moi, à moins que je la lui donne par le biais d’un accord avec lui, c’est-à-dire en étant d’accord avec ce dont il cherche à me persuader. C’est uniquement quand je me mets d’accord avec ses mensonges que je donne accès à l’esprit de crainte en moi. Et c’est là son outil préféré. L’esprit de crainte commence ensuite à contrôler ma vision et ma pensée, et l’ennemi dispose alors d’une autorité sur moi qu’il avait totalement perdue le jour où j’ai confié ma vie à Jésus-Christ.
Jésus a acheté ma liberté. Mais en tombant d’accord avec les mensonges du diable, je l’avais juste rendue à ce dernier.
Dans 2 Timothée 2.25-26, « les pièges du diable » correspondent à un endroit où les personnes qui croient des mensonges et ont perdu leur bon sens sont tenus captifs. C’est une image très forte. Nous sommes capturés par le diable pour faire sa volonté simplement en croyant des mensonges. C’est une vérité incroyable et dont nous contrôlons les conséquences simplement par ce avec quoi nous décidons de nous mettre d’accord.
Je suis tombé dans ce piège. Non pas délibérément, mais cela est vraiment arrivé et a causé une période douloureuse dans ma vie.
Cependant, Dieu ne m’a pas donné un esprit de crainte (2 Timothée 1.7). Je vis par la foi et non par la vue (2 Corinthiens 5.7). J’avais commencé à écouter les mensonges du diable, mais la foi vient en entendant la voix de Dieu (Romains 10.17) et la vérité est qu’il est sans cesse en train de communiquer avec nous. La foi est plus précieuse que l’or et nous donne un fondement extrêmement solide sur lequel nous pouvons construire nos vies et notre monde. Je suis un homme juste, et le juste vivra par la foi… pas par la crainte ! (Galates 3.11)
C’est pourquoi je choisis aujourd’hui la foi. Je choisis la liberté. Je choisis l’espérance. Je vais construire ma vie sur les vérités issues du cœur de Dieu et je refuse de me mettre d’accord avec les mensonges du diable.
Jésus est mort à Golgotha afin que je puisse être plus que vainqueur face aux tentatives du diable de me distraire et de me détruire.
Je choisis la foi. J’aurai la victoire !
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