Il y a quatre jours, j'étais dans un lit d'hôpital à Galveston, au Texas, entouré d'une équipe de médecins. Je m'y trouvais depuis cinq jours. Une grave complication dans mon corps nous avait tous amenés à la nécessité de faire le point sur ma situation.
Le chirurgien ne pouvait pas régler le problème.
Les oncologues ont dit qu'une nouvelle chimiothérapie pourrait me tuer.
Nous étions arrivés au bout du chemin.
Ils m'ont donné deux à six mois à vivre, et m'ont renvoyé chez moi pour mourir.
Sauf que cette dernière affirmation n'est pas du tout vraie. Ils ne m'ont pas renvoyé "chez moi". Ils m'ont renvoyé à mon unité carcérale d’assignation, une prison de haute sécurité.
Par ailleurs, je n'ai pas l'intention de mourir de sitôt !
Le chirurgien ne pouvait pas régler le problème.
Les oncologues ont dit qu'une nouvelle chimiothérapie pourrait me tuer.
Nous étions arrivés au bout du chemin.
Ils m'ont donné deux à six mois à vivre, et m'ont renvoyé chez moi pour mourir.
Sauf que cette dernière affirmation n'est pas du tout vraie. Ils ne m'ont pas renvoyé "chez moi". Ils m'ont renvoyé à mon unité carcérale d’assignation, une prison de haute sécurité.
Par ailleurs, je n'ai pas l'intention de mourir de sitôt !
Pendant environ 90 minutes après leur proclamation dévastatrice, j'ai eu l'impression que j'allais perdre la tête. J'étais seul dans un hôpital, sans amis ni famille. Le masque que j’avais l’obligation de porter rendait déjà ma respiration difficile, et toutes les larmes qui coulaient sur mon visage m’empêchaient désormais de voir. J'avais l'impression que le poids du monde venait de se poser sur ma poitrine et refusait absolument de bouger.
Personne ne voudrait jamais entendre de telles paroles prononcées au sujet de sa vie.
Et c'était dix fois pire de les entendre seul...
Puis Jésus est apparu. Il est entré dans ma chambre et m'a dit : "Viens au verger." Le verger est notre lieu secret. C'est là que nous marchons, que nous parlons et que nous nous aimons.
Personne ne voudrait jamais entendre de telles paroles prononcées au sujet de sa vie.
Et c'était dix fois pire de les entendre seul...
Puis Jésus est apparu. Il est entré dans ma chambre et m'a dit : "Viens au verger." Le verger est notre lieu secret. C'est là que nous marchons, que nous parlons et que nous nous aimons.
Au milieu de mon cauchemar bien réel, j'ai fermé les yeux et je suis entré dans le verger. Je pourrais vous parler de ce verger pendant des jours, mais tout ce qui comptait à ce moment-là pour moi, c'était que Jésus soit là.
Il a marché vers moi et m'a pris dans Ses bras. Il m'a serré contre Son cœur et m'a rappelé que lorsque je demeure là, dans Son étreinte, j'ai le pouvoir de surmonter absolument TOUT ce qui se présente à moi.
Il a marché vers moi et m'a pris dans Ses bras. Il m'a serré contre Son cœur et m'a rappelé que lorsque je demeure là, dans Son étreinte, j'ai le pouvoir de surmonter absolument TOUT ce qui se présente à moi.
Une paix tangible a envahi ma chambre et a rempli mon cœur. La chaleur du Ciel me couvrait et me réconfortait.
J'ai commencé à penser à Shadrak, Méshak et Abed-Nego lorsqu'ils ont refusé de se prosterner devant la statue en or du roi Nabuchodonosor (livre de Daniel, chapitre 3). Il les a menacés de mort immédiate s'ils n'abandonnaient pas et ne cédaient pas. J'ai commencé à entendre leurs paroles dans ma chambre d'hôpital : "Notre Dieu, celui que nous servons, peut nous délivrer de la fournaise ardente, et il nous délivrera de ton pouvoir […]. Et même s’il ne le faisait pas […]"
Ils ont eu confiance en Dieu, quoi qu'il arrive.
Pendant un moment, il semblait qu'ils allaient perdre. Ils ont été attachés et jetés dans une fournaise ardente qui était devenue si chaude qu'elle tuait tous ceux qui s'approchaient. Les trois hommes sont tombés dans les flammes rugissantes, tout habillés, et il semblait que l'histoire de leur foi allait s'arrêter là pour toujours.
Ils ont eu confiance en Dieu, quoi qu'il arrive.
Pendant un moment, il semblait qu'ils allaient perdre. Ils ont été attachés et jetés dans une fournaise ardente qui était devenue si chaude qu'elle tuait tous ceux qui s'approchaient. Les trois hommes sont tombés dans les flammes rugissantes, tout habillés, et il semblait que l'histoire de leur foi allait s'arrêter là pour toujours.
Mais Jésus est apparu dans leur "chambre" à eux aussi.
Il lui semble habituel de donner l’impression que ce qui est impossible est facile.
Ces trois hommes de Dieu sont sortis de ce piège mortel bien vivants, entiers et en pleine santé. Pas un seul de leurs cheveux n'a été brûlé. Aucun de leur vêtement n'a été brûlé. La Bible dit qu'"ils ne sentaient même pas le feu" !
C'est ainsi que je veux faire face à ma propre impossibilité !
Les médecins disent que je vais mourir.
Il lui semble habituel de donner l’impression que ce qui est impossible est facile.
Ces trois hommes de Dieu sont sortis de ce piège mortel bien vivants, entiers et en pleine santé. Pas un seul de leurs cheveux n'a été brûlé. Aucun de leur vêtement n'a été brûlé. La Bible dit qu'"ils ne sentaient même pas le feu" !
C'est ainsi que je veux faire face à ma propre impossibilité !
Les médecins disent que je vais mourir.
Mais j'ai un Dieu que je sers et qui est capable de me sauver ! Il est capable de toucher mon corps et de le renouveler complètement. En Sa présence, chaque cellule cancéreuse dans ma chair doit fuir.
Je crois que mon Dieu va me guérir. Je crois de tout mon cœur que je verrai à nouveau la bonté du Seigneur dans le pays des vivants. Je vivrai et je ne mourrai pas. Je me battrai jusqu'à la fin et je resterai ferme et fort dans ma foi.
La même puissance qui a ressuscité Jésus d'entre les morts est disponible pour ma propre situation. Le même Dieu qui a marché dans les flammes de l'enfer de Nabuchodonosor pour libérer ses trois serviteurs est à 100% de mon côté.
Je sais que mon Père – ce Dieu étonnant que je sers – est capable et désireux de me sauver.
Mais même s'Il ne le faisait pas...
Je crois que mon Dieu va me guérir. Je crois de tout mon cœur que je verrai à nouveau la bonté du Seigneur dans le pays des vivants. Je vivrai et je ne mourrai pas. Je me battrai jusqu'à la fin et je resterai ferme et fort dans ma foi.
La même puissance qui a ressuscité Jésus d'entre les morts est disponible pour ma propre situation. Le même Dieu qui a marché dans les flammes de l'enfer de Nabuchodonosor pour libérer ses trois serviteurs est à 100% de mon côté.
Je sais que mon Père – ce Dieu étonnant que je sers – est capable et désireux de me sauver.
Mais même s'Il ne le faisait pas...
Je ne m’INCLINERAI JAMAIS devant quiconque d’autre!
Je Lui FAIS CONFIANCE pour ma vie !
Jeff
What else! Quoi de meilleur! Tout depend de nos choix, les consequences suivent! Tu suis Jésus, le chemin, la vérité et la VIE! Bravo!!
RépondreSupprimerJeff. Tu es magnifique et je prie pour toi. Ton espérance nous redonne courage.
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