Zelsa
Mercredi dernier, le 14 octobre, nous nous trouvions en pleine fouille semestrielle lorsque je reçus une lettre contenant des nouvelles très difficiles. Zelsa, la mère de Jacob, avait été conduite aux soins intensifs et n’allait vraiment pas bien. Jesse, le frère de Jacob, envoyait des messages « textos » à ma famille qui laissaient même penser que la situation pouvait rapidement évoluer vers un risque vital. Il s’avère que Zelsa avait une urémie (nous l’apprîmes plus tard), c’est-à-dire une infection du sang par l’urée qui est toxique. Ceci parce qu’elle n’avait pas eu ses trois dialyses hebdomadaires la semaine d’avant. Le cumul de sa cécité partielle, de l’absence de moyen de transport, d’un épuisement physique et d’une chute sérieuse ayant entraîné une blessure à la tête et à une lèvre a fait qu’elle s’est retrouvée comme dans une forte tempête qui l’a empêchée de se rendre aux rendez-vous pour son traite-ment vital de dialyse. Au moment de recevoir l’information concernant cette situation, Zelsa se trouvait déjà à son deuxième jour aux soins intensifs.
Les médecins disaient que son état était très grave et qu’il faudrait beaucoup de traitements et de soins pour purifier son sang et permettre à son corps de guérir des effets des toxines dans son organisme. Ils ont également émis qu’il était probable qu’elle ne survive pas une seconde intoxication du sang de ce genre si ce problème devait se présenter une nouvelle fois.
Dès la réception de cette lettre, j’en ai partagé le contenu avec un Jacob vraiment « sombre », puis j’ai appelé deux autres frères, Chino et Gilbert, à venir prier avec nous. Depuis le centre de notre prison, nous avons ordonné au corps de Zelsa de reprendre son fonctionnement normal et à la cause de cette maladie de disparaître (le diagnostic de nous était pas encore connu à ce moment-là). La paix est venue régner sur nous à la fin de notre temps de prière.
Deux jours plus tard, nous avons reçu des nouvelles miraculeuses. Plus ou moins exactement à l’heure où nous avons prié pour elle, l’état de Zelsa connut un tournant drastique. En quelques heures, tout est rentré dans l’ordre et le lendemain elle a pu quitter l’hôpital. Même les médecins n’étaient pas sûrs quant à ce qui expliquait un retournement de situation tellement soudain.
Mais nous savions qui l’avait causé. Gloire à son saint nom !
Jimmy Wileman
Samedi le 17 octobre lors de ma visite, je me trouvais assis avec ma mère et mon grand-père quand un autre détenu passa derrière moi. Il venait tout juste de dire bonjour à sa famille à l’endroit où il est possible d’échanger une étreinte avant de commencer la visite, et il retournait à sa place.
— Le cancer chez mon frère a disparu à 100 %, murmura-t-il à mon oreille en se penchant vers moi. YES !
Cela faisait plusieurs semaines de suite que nous priions avec autorité pour son frère dans le cadre de notre École de Transformation ici dans l’unité.
Le cancer devait partir… Et il est parti !
Pasteur Boyd
Ce même samedi soir-là, nous avons célébré un culte dans notre chapelle avec le ministère C.O.O.L. et le ministère Conviction for Christ . Le pasteur Pasteur Boyd, pasteur et directeur de C.O.O.L., boitait sur la scène et nous dit que son genou avait enflé. À la fin de la célébration, alors qu’ils rangeaient leur matériel, je me suis senti mis au défi de prier pour son genou. Cela ne semblait pas du tout être le moment le plus propice, mais y a-t-il jamais un temps propice ? J’ai pris conscien-ce qu’il y a toujours une raison pour ne pas agir avec foi. J’ai donc refusé cette excuse et me suis dirigé tout droit vers lui sur l’estrade.
— Puis-je prier pour ton genou ? lui demandai-je.
— Oui, s’il-te-plaît ! fut sa réponse.
Je lui ai demandé si je pouvais poser ma main sur son genou et, après son acquiescement, je me suis agenouillé et ai simplement libéré la bonté de Dieu dans son genou, en lui ordonnant d’être rétabli.
Lorsque je me suis relevé, le pasteur Boyd semblait bouleversé et dit : « Eh bien, j’ai senti comme un feu être transmis par tes mains et la douleur s’en est allée instantanément ! »
Je lui ai demandé s’il voulait danser une danse jig avec moi pour tester l’état de son genou, mais il s’est « dégonflé ». -:) J’ai néanmoins noté qu’il ne semblait plus du tout boiter en quittant le bâtiment !
Dieu est si bon !
Dès la réception de cette lettre, j’en ai partagé le contenu avec un Jacob vraiment « sombre », puis j’ai appelé deux autres frères, Chino et Gilbert, à venir prier avec nous. Depuis le centre de notre prison, nous avons ordonné au corps de Zelsa de reprendre son fonctionnement normal et à la cause de cette maladie de disparaître (le diagnostic de nous était pas encore connu à ce moment-là). La paix est venue régner sur nous à la fin de notre temps de prière.
Deux jours plus tard, nous avons reçu des nouvelles miraculeuses. Plus ou moins exactement à l’heure où nous avons prié pour elle, l’état de Zelsa connut un tournant drastique. En quelques heures, tout est rentré dans l’ordre et le lendemain elle a pu quitter l’hôpital. Même les médecins n’étaient pas sûrs quant à ce qui expliquait un retournement de situation tellement soudain.
Mais nous savions qui l’avait causé. Gloire à son saint nom !
Jimmy Wileman
Samedi le 17 octobre lors de ma visite, je me trouvais assis avec ma mère et mon grand-père quand un autre détenu passa derrière moi. Il venait tout juste de dire bonjour à sa famille à l’endroit où il est possible d’échanger une étreinte avant de commencer la visite, et il retournait à sa place.
— Le cancer chez mon frère a disparu à 100 %, murmura-t-il à mon oreille en se penchant vers moi. YES !
Cela faisait plusieurs semaines de suite que nous priions avec autorité pour son frère dans le cadre de notre École de Transformation ici dans l’unité.
Le cancer devait partir… Et il est parti !
Pasteur Boyd
Ce même samedi soir-là, nous avons célébré un culte dans notre chapelle avec le ministère C.O.O.L. et le ministère Conviction for Christ . Le pasteur Pasteur Boyd, pasteur et directeur de C.O.O.L., boitait sur la scène et nous dit que son genou avait enflé. À la fin de la célébration, alors qu’ils rangeaient leur matériel, je me suis senti mis au défi de prier pour son genou. Cela ne semblait pas du tout être le moment le plus propice, mais y a-t-il jamais un temps propice ? J’ai pris conscien-ce qu’il y a toujours une raison pour ne pas agir avec foi. J’ai donc refusé cette excuse et me suis dirigé tout droit vers lui sur l’estrade.
— Puis-je prier pour ton genou ? lui demandai-je.
— Oui, s’il-te-plaît ! fut sa réponse.
Je lui ai demandé si je pouvais poser ma main sur son genou et, après son acquiescement, je me suis agenouillé et ai simplement libéré la bonté de Dieu dans son genou, en lui ordonnant d’être rétabli.
Lorsque je me suis relevé, le pasteur Boyd semblait bouleversé et dit : « Eh bien, j’ai senti comme un feu être transmis par tes mains et la douleur s’en est allée instantanément ! »
Je lui ai demandé s’il voulait danser une danse jig avec moi pour tester l’état de son genou, mais il s’est « dégonflé ». -:) J’ai néanmoins noté qu’il ne semblait plus du tout boiter en quittant le bâtiment !
Dieu est si bon !
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